Event: Participation de galerie THEOREMA au festival “au coeur des faubourgs – KARDIA” a Luxembourg

Σύγχρονη ελληνική τέχνη:  Ανοιχτός διάλογος

Στα πλαίσια του φεστιβάλ – αφιέρωμα στον ελληνικό πολιτισμό “Au cœur des faubourgs – Kardiá“, που διοργανώνεται στο χώρο του Abbaye de Neumünster στο Λουξεμβούργο από 1 έως και 3 Ιουλίου 2016, η GalerieTheorema έχει την τιμή να παρουσιάσει την ομαδική έκθεση “Σύγχρονη ελληνική Τέχνη: Ανοιχτός διάλογος“, με έργα Ελλήνων καλλιτεχνών, που με την τέχνη τους ευαισθητοποιούνται απέναντι στις προκλήσεις που αντιμετωπίζει η σύγχρονη Ελλάδα. Η έκθεση θα φιλοξενηθεί  στον εκθεσιακό χώρο “Cloître et jardin Lucien Wercollier”. Τα εγκαίνια θα πραγματοποιηθούν την Παρασκευή 1η Ιουλίου στις 18:30. Η έκθεση θα είναι ανοιχτή για το κοινό το Σάββατο 2 Ιουλίου και την Κυριακή 3 Ιουλίου από τις 11:00 μέχρι τις 18:00.

L’art contemporain grec: Un dialogue ouvert

Neimënster sera la scène, les 1er, 2 et 3 juillet, d’une série de manifestations consacrées à la culture grecque dans le cadre du festival  “Au cœur  des faubourgs – Kardiá”.  Galerie THEOREMA  a l’honneur de présenter l’exposition collective « L’art contemporain grec: Un dialogue ouvert »,en mettant  à l’honneur les ouvres des artistes grecs sensibles aux défis de la Grèce contemporaine.
Salle d’exposition : Cloître et jardin Lucien Wercollier
Vernissage :  le 1.07 à partir de 18:30
Exposition:  2- 3 /07  de 11:00 > 18:00

Galerie Theorema/neimënster
Organisation: neimënster / Conception: Paca Rimbau Hernández / Partenaires: Ciné-Club Hellénique, Cinémathèque de la Ville de Luxembourg, Comité de Solidarité avec la Grèce, Galerie Theorema /Sous le haut patronage de l’Ambassade hellénique au Luxembourg

Εn ces moments-clés, face aux questions et angoisses existentielles, l’exposition collective «L’art contemporain grec – face à la crise » va tenter de répondre, ou au moins essayer de lisser l’âme humaine par le moyen de la création, à travers le regard des peintres grecs contemporains.

La Galerie THEOREMA présente cette exposition collective en mettant à l’honneur les œuvres des artistes grecs sensibles aux défis de la Grèce contemporaine, dissipant le mythe et le stéréotype dominants de la Grèce touristique.

Artistes:
Alekos Kyrarinis révèle Pathoktonia, la lutte de l’homme contre ses passions.
Lambros Psyrrakis présente Héraclite et Homère revisités.
Christos Kechagioglou recourt aux paysages oniriques de l’enfance.
Achilleas Christidis provoque une explosion d’émotions.
Nikos Oikonomidis évoque le symbole de la table.
Tassos Mantzavinos décrit d’un un regard profond Ulysse et son voyage.
Ioannis Mouhasiris s’exprime non pas avec un boum mais avec un murmure (T. S. Elliot).
Chrysostomos Galathris met en scène les parcelles de mémoire vivante.
Vasso Triga envoie un message positif et optimiste avec ses coups dansants de pinceaux.
Giorgos Giotsas fait un appel à la mémoire collective avec son oeuvre «Oedipe».
Nikos Moschos parcourt la métropole fragmentée.
Maria Giannakaki quête l’équilibre entre les confrontations émotionnelles les plus viscérales.

PATHOKTONIA
‘Moine combattant’, 77x61 cm

Alekos KYRARINIS

révèle Pathoktonia, la lutte de l’homme contre ses passions.


Né à Athènes en 1976, il a grandi dans son lieu d’origine, Tinos.
Il a travaillé avec son père Yannis Kyrarinis, sculpteur de marbre, depuis l’âge de onze ans jusqu’à son admission à l’École des Beaux-Arts à Athènes en 1997.
Il a étudié dans l’École des Beaux-Arts entre 1997 et 2003, avec le professeur Yannis Psychopedis.
Il a illustré les livres (Calendrier du Groupe ALPHA 2003), Επαληθεύοντας τη νύχτα (Dimitris Angelis, Neos Astrolavos / Efthyni, Athènes 2011), Encima del subsuelo /Πάνω απ΄το υπέδαφος (Kostas Vrachnos, édition limitée, Athènes 2012), les numéros 1,2,3 du magazine «Nea Efthyni».
Il collabore avec le magazine «Fréar» et avec l’espace culturel «Baumstrasse».
Il a publié un livre sur la peinture intitulé «Οι ερωτήσεις της Νεφέλης (Les Questions de Nefeli)», Μικρός Astrolavos/Efthyni, Athènes 2011.


«Dans mes oeuvres je représente des moines, des Saints potentiels, qui se battent contre les démons, c’est à dire les passions. La foi et l’art ont des démons communs, et ceci parce-que elles sont des manifestations de la vie qui nous a été accordée. Je veux, avec un coup de marteau sur l’enclume, améliorer mon travail et moimême…» – A. K

Détail, ‘Homère’
technique mixte

Lambros PSYRRAKIS

présente Héraclite et Homère revisités.


Né à Salonique en 1962.
En 1987 il a obtenu son diplôme en Mathématiques de la Faculté ‘Physique-Mathématiques’ de l’Université d’ Aristote de Thessalonique.
En 1994 il est diplômé de la Faculté des Beaux-Arts et Arts Appliqués, de l’ École des Beaux-Arts de l’ Université d’ Aristote de Thessalonique.
Il a ensuite reçu une bourse d’études de Ι.Κ.Υ et en 1997 il a obtenu un Master of Arts de Middlesex University of London.
Il a présenté une dizaine d’expositions individuelles et plus de 20 expositions collectives en Grèce et à l’étranger.


«…et voici le problème du peintre de nos jours, sur les bornes de deux mondes: Mettre en images dans ces circonstances complexes sans tomber dans le piège de l’ « art militant».- L. P.

Atelier, 70x70 cm

Christos KECHAGIOGLOU

recourt aux paysages oniriques de l’enfance.


Né en 1960 à Thessalonique.
A étudié le génie civil à l’École Polytechnique de Thessalonique, la réalisation cinématographique à Athènes, et a fait son DEA sur la philosophie de l’art à Paris, étudiant les relations entre le cinéma et la peinture.
Il peint depuis l’âge de 17 ans. Sa première exposition individuelle a eu lieu en 1981 à Thessalonique; elle a été suivie de 12 autres expositions individuelles et quelque 40 expositions collectives en Grèce, en France, en Autriche et en Belgique.
Il est le créateur de plusieurs films expérimentaux et de vidéo art qui ont été présentés dans des espaces d’art et des festivals en Grèce, en Italie et en Allemagne. Il est en collaboration permanente avec les galeries d’art ‘Zoumboulakis Galleries’ à Athènes, ‘Metamorfosis’ à Thessalonique et ‘Theorema’ à Bruxelles.
Ses oeuvres se trouvent dans plusieurs collections publiques et privées ainsi que dans des musées en Grèce, en Europe et en Amérique.


« Ma peinture est tonale, au sens de la musique tonale. En choisissant une base des couleurs, je construis autour d’elle une symphonie, un cercle d’harmonies chromatiques qui se referme au même endroit. Ainsi, les oeuvres contiennent une musicalité cachée, un rythme.» – KEX

Untitled, 40x50cm

Achilleas CHRISTIDIS

provoque une explosion d’émotions.


Né au Pirée en 1959.
Il a étudié la scénographie du théâtre et la musique.
C’est un autodidacte en peinture.
Vit et travaille à Athènes.
Il a à son actif, 19 participations à des expositions collectives et 40 expositions personnelles en Grèce, à Chypre et en Europe.
Il a illustré les livres « Le Flic » de G. Skourtis et « de Sade » de D. Thomas.
Il a publié deux séries des Portraits, aux éditions Parousia (1997) et Kastaniotis (2007).


« Devant la peinture de Christidis se produit une explosion d’émotions, souvent sans que nous puissions expliquer comment une fleur ou un nuage peuvent provoquer une telle tension dans l’âme humaine.» Extrait de l’Exposition ’60X70′ – Nov 2012, THEOREMA

Détail, « la table rouge »

Nikos OIKONOMIDIS

évoque le symbole de la table.


Né en 1953 au Pirée. Il a étudié la peinture à l’atelier de Υ. Vogiatzis et en Angleterre (à Bristol – Filton Technical College et à Londres – Slade School of Fine Arts).
Il a fait, jusqu’à présent, 20 expositions individuelles et nombreuses participations à des expositions collectives en Grèce, à Chypre, en Angleterre et en Belgique.
Il a publié deux livres:
1. Jaune et Noir, l’équipe de l’AEK et
2. « Poésie sur la toile », peinture sur les poèmes des neuf poètes grecs et il a peint des couvertures de livres et des illustrations de livres pour enfants.
Vit et travaille à Halandri, Attique.


«…la table où étant assis, nous mangeons, bricolons et parlons. La table: du traqué, du bon bourgeois, du rêveur, de l’amoureux. La table du meurtrier, du prisonnier. La table : de l’architecte, du poète, de l’acteur. La table : du mouchard, de l’exilé, du soldat. La table de la jeune fille. La mémoire, telle une bête sauvage que la mer, comme dans les tableaux de Oikonomidis, elle dégage des gens noyés, des vivants et des couleurs.» – Nikos Kontos

Détail, Untitled, 30x50 cm

Tassos MANTZAVINOS

décrit d’un un regard profond Ulysse et son voyage.


Né à Athènes en 1958.
Il a suivi des études à l’école des Beaux-Arts d’Athènes (1979-1985). Suivant sa graduation, il a présenté sa première exposition individuelle ; dix autres en ont suivi.
Il a à son actif, 29 expositions individuelles et plusieurs participations aux expositions collectives et événements internationaux.
Ses oeuvres font partie de collections publiques et privées en Grèce et à l’étranger.
Entre 1986 et 1996, il a enseigné le dessin libre à l’École d’Arts Vakalo.
Il a illustré les livres suivants: Anti tis Siopis by Lefteris Poulios (Instead of Silence, 1993), O afanis thriamvos tis omorfias by Argyris Chionis (The Unseen Triumph of Beauty, 1995), Mikri Zoologia (The Little Book of Zoology, Collective Work, 1998) and I naftilia kyklous kanei by Philippos Begleris (Shipping goes around in circles, 2011), Ta Rebetika (5 copper engravings, 60 copies, Editions Mnimeros, 2012), Idanikoi Aftocheires (Ideal Suicides, K. G. Kariotakis – 12 Lithographs – 50copies, Editions Mnimeros, 2013), Adam and Eva (T. Mantzavinos, Lithographs, 60 copies, Editions Mnimeros, 2015), The Raven (Edgar Allan Poe – T. Mantzavinos, Lithographs, 40 copies, Editions Mnimeros, 2016).
Il vit et travaille à Athènes.


« Le peintre est son propre mythe, l’univers de ses pensées, les choix de sa vie, tout cela aboutit sur son tableau.» – T. M.

Untitled, 100x 100

Ioannis MOUHASIRIS

s’exprime non pas avec un boum mais avec un murmure (T. S. Elliot).


Né à Athènes en 1966.
Il a étudié la peinture et la sculpture à l’École d’art Corcoran, à Washington DC et la mise en scène à l’American University et Académie Cinématographique de Prague.
Il a participé avec des courts métrages dans des festivals en Amérique et en Europe.
Il a présenté son travail dans quinze expositions individuelles ainsi qu’à plusieurs expositions collectives en Grèce et à l’étranger.
Ses oeuvres figurent dans la collection du Musée Vorres et dans de nombreuses collections privées.


«Mouhasiris est un des rares peintres qui n’a pas peur d’affronter l’élément dominant de chaque siècle, la violence. La violence joyeuse est sa devise, elle transperce son oeuvre en donnant du sang au sujet…» G.-K.

« MEMOIRE VIVANTE »
Photo imprimée sur toile, 70 x 100 cm

Chrysostomos GALATHRIS

met en scène les parcelles de mémoire vivante.


Chrysostomos Galathris est né à Karlovasi, Samos.
Il a étudié au “Focus Art School of Athens”.
Il a fait trois grandes expositions individuelles et a reçu six prix de photographie en Grèce, à Londres et aux Etats-Unis.
En novembre 2012, il a présenté sa première exposition à Bruxelles, à la galerie THEOREMA, qui a surpris et impressionné le public bruxellois, par sa « mise en scène » artistique et la qualité de son travail.


«La persistance de la mémoire est notre lien avec le passé, un passé qui a marqué et déterminé notre présent. En «mettant en scène» sa mémoire, Galathris nous la présente comme partie de son ADN.» – Eri Ritsou

« AU PREMIER REGARD »

Vasso TRIGA

envoie un message positif et optimiste avec ses coups dansants de pinceaux.


Vasso Triga est une peintre grecque moderne.
Née en Grèce, elle a étudié le droit et la peinture à Athènes.
Elle a participé depuis 1996 à une série d’expositions collectives et par la suite elle a présenté ses oeuvres à plusieurs expositions individuelles.
Elle travaille à Athènes et au Luxembourg où elle réside.
Ses oeuvres figurent dans des collections privées en Grèce et à l’étranger.


« La présence ou l’absence de la nature définit l’homme … Le travail se transforme, évolue et mûrit sous les coups de pinceau qui sont comme des pas de danse sur la toile “.» – V. T-

« OEDIPE »
Technique mixte

Giorgos GIOTSAS

fait un appel à la mémoire collective avec son oeuvre «OEdipe».


Né à Athènes.
Il a assisté à des cours de peinture à l’Ecole des Beaux-Arts de Florina, Grece avec les professeurs G. Zioga et G. Kastritsi.
Il a suivi des cours de design graphique à l’Université de Hertfordshire en Angleterre. Il a participé depuis 2006 à une quinzaine d’expositions collectives en Grèce et à l’étranger.
Il a présenté sa première exposition individuelle en 2014 à Athènes et sa deuxième en 2015 à Myconos.
Il a créé l’oeuvre central «OEDIPE » de l’exposition collective « L’art contemporain grec – un dialogue ouvert », organisée par la Galerie THEOREMA au «Théâtre de la Place des Martyrs» du 18/9 au 31/10/2015 à Bruxelles.
Vit et travaille à Athènes.


«La technique utilisée dans mon travail est un développement de techniques mixtes tel que défini par l’utilisation des adhésifs et des matières premières comme la terre, la cendre et la poudre de marbre… Je forme différents niveaux à la surface de la toile, ainsi, le projet prend une forme complète par l’application d’une couleur “pure”- brute, en définissant l’effet visuel comme une image de mémoire anthropocentrique.» – G. G.

Untitled
Oil on canvas, 145x120 cm

Nikos MOSCHOS

parcourt la métropole fragmentée.


Né en 1979 à Héraklion, Crète.
Il a étudié à l’École des Beaux-arts d’Athènes de 1997 à 2003.
Il a participé à plus de 40 expositions collectives entre 2003 -2015.
Il a présenté 6 expositions individuelles de 2007 à 2014.
Ses oeuvres se trouvent dans plusieurs collections publiques et privées ainsi que dans des musées et galléries en Grèce et à l’étranger: Musée Benaki, Musée Frissiras, Musée des arts visuels de Héraklion, Galerie Viannou Art à Athènes, Theorema Art Gallery à Bruxelles, Sammlung-Schirm à Berlin, PTE Beaux-Arts à New York.
Vit et travaille à Athènes.


«Nikos Moschos, en utilisant des symboles et des allégories, représente un monde du passé qui a été démoli et reconstruit. Ses oeuvres sont comme des pantomimes artistiques, car ils présentent des ”héros” qui communiquent ou sont inter reliés, (mais aussi liés à des choses ou la ville dans laquelle ils vivent), à travers des hochements de tête, des regards, le langage du corps et les gestes.» – Athina Schina

Untitled

Maria GIANNAKAKI

quête l’équilibre entre les confrontations émotionnelles les plus viscérales.


Née à Athènes.
Elle a fait ses études à l’École des Beaux Arts d’Athènes (1977-1982), sous la direction de P. Tetsis.
De 1980 à 1982, elle a étudié la technique de la mosaïque avec J. Kolefas.
En 1983, elle poursuit ses études en Chine pour apprendre la peinture traditionnelle chinoise et la calligraphie.
Elle a présenté son travail dans des expositions personnelles et collectives dans plusieurs pays, Grèce, Chine, Allemagne, Belgique, Inde, Italie, Luxembourg, Suède et Etats-Unis, y compris l’exposition Ink International et Wash Peinture à Pékin (1988), le VIII Triennale de New Delhi (1994), l’Art Athina à Athènes (1995, 1998, 2001 et 2004), la Foire Riparte à Rome (1996), l’Art à Milan (2003) et la Biennale Ιnternational à Pékin (2005).


«…ma peinture tente d’établir un équilibre entre les notions de l’intro / extraversion, l’altérité comme un moyen de la conscience de soi, le vide, l’espace et le silence comme des éléments constitutifs de la vie et de la mort; L’éthéré, l’aquatique et l’innocent se confrontent à des émotions les plus viscérales de survie.» – M. G.